Lily figure ce mois-ci dans le magazine ‘The Hollywood Reporter’, en compagnie de Christopher Bailey, pour promouvoir la marque Burberry ! Retrouver les premiers outtakes dans la galerie :
En couverture du magazine ELLE UK ce mois-ci, découvrez les premiers outtakes du magazine dans la galerie:
Découvrez de tout nouveaux portraits de Lily et le casting de ‘The Exception‘ aux TIFF la semaine dernière :
En cette seconde journée de promotion, découvrez les premiers portraits de Lily et le casting de ‘The Exception’ pour le Toronto Film Festival :
Lily a également fait le traditionnel Happy/Sad/Confused avec Joshua Horowitz.
Lily fait la couverture du magazine ELLE UK pour l’édition d’octobre 2016 ! Pour le moment, seule la couverture du magazine a été dévoilée, que vous pouvez retrouver dans la galerie :
Aujourd’hui est un grand jour pour Lily ! Découvrez la campagne Burberry du nouveau parfum ‘My Burberry Black’ pour lequel Lily est l’égérie ! Retrouvez l’affiche officielle et le photoshoot promotionnel dans la galerie du site, ainsi que la publicité ci-dessous :
Découvrez en exclusivité un tout premier aperçu de Lily, égérie du nouveau parfum Burberry ‘My Burberry Black’ ! En attendant les affiches officielles, découvrez la photo dans la galerie :
Retrouvez aussi dans la galerie de nouvelles photos de Lily dévoilées cette semaine sur les réseaux sociaux!
Le 19 juin, Lily et Matt ont été photographiés tous les deux dans les rues de Londres. Découvrez les quelques photos dans la galerie :
Découvrez aussi de nouveaux outtakes provenant du photoshoot pour The Hollywood Reporter datant de l’année dernière :
Traduction de l’interview du magazine ‘Town & Country’ :
C’est la chérie de Downton, devenue Princesse Disney qui s’attaque à Jane Austen. Et aux zombies. (Oh, et àShakespeare.) C’est officiel : Lily James a tout maintenant, comme le découvre Helen Whitaker.
Il y a une chose que l’on peut dire de Lily James, c’est qu’elle est infailliblement polie. En fait, si ce n’est pour sa tenue moderne qu’elle porte en arrivant à l’interview d’aujourd’hui – jean noir, bottes, pull marine – on pourrait la prendre pour l’une des ingénues bienséantes qu’elle incarne à l’écran.
Nous sommes dans un bar sur le thème équestre dans un quartier plein de chichi dans l’ouest londonien, entourées de selles, fouets, une bride, et des coussins brodés de scène de courses de chevaux (l’endroit a été choisi par un association caritative pour laquelle Lily assiste à un événement après, plus que par passion pour ce qui relève du cheval), et elle a été reconnue par deux fans. Elles ont attendu la fin de notre interview pour demander des autographes et sont venues préparées, avec une tonne de photos à lui faire signer. Lily doit partir (le thé-charité l’attend), mais leur répond qu’elle reste pour en signer quelques uns, alors que les fans continuent à lui en mettre de plus en plus dans les mains. Je suspecte qu’elles finissent sur eBay, mais elle est trop gracieuse pour suggérer ça. Elle réussit quand même à s’extraire pour se changer, ma patience aurait atteint sa limite depuis bien longtemps.
On remonte une heure plus tôt et on est en train de boire un thé à la menthe pendant que Lily me montre la moitié haute de sa tenue à motif de la cérémonie d’ouverture qu’elle porte sous ses vêtements civils, prête à enfiler la jupe assortie une fois qu’on aura terminé. En dehors de la tournée de promotion de Cendrillon l’an dernier qui fut un régal sur les tapis rouges, elle dit que le mot « facile » ne s’applique pas à son style.
« J’essaye les choses au moins 100 fois, mais je suis assez classique pour ce que je porte quotidiennement, explique-t-elle. Même si j’ai fait de la place dans mon dressing récemment, et c’était drôle à voir, je ne sais pas vraiment comment accorder les choses. Parfois on dirait vraiment que je me suis habillée dans le noir. Mais mon copain est cool et il m’aide. »
Si vous ne connaissez pas encore l’un des couples les plus cools d’Angleterre, « mon copain » est l’acteur et ancienne star de Doctor Who, Matt Smith. Si tu lui poses directement des questions sur lui, son coache médiatique s’interpose, la rendant (courtoisement, évidemment) réticente à en parler. Mais quelques références ponctuent la conversation, montrant à quel point elle en est amoureuse.
Traduction de l’interview du magazine ‘Town & Country’ :
Kenneth Branagh a choisi lui-même Lily James pour incarner l’héroïne de son conte de fée, il y a un côté magique à la carrière de la starlette britannique qui a une ascension extraordinaire. Ne vous attendez pas à ce que sa prochaine transformation soit aussi douce.
Quand Kenneth Branagh a accepté de diriger Cinderella, les auditions avaient déjà commencé depuis longtemps. Des centaines d’actrices étaient venues faire des lectures pour le rôle. Un après-midi quelques vidéos étaient diffusées, et Kenneth Branagh n’y faisait pas vraiment attention jusqu’à ce qu’il entende une voix qui avait tout ce qu’il pensait devoir retrouver dans le personnage d’Ella : innocence, musicalité et chaleur. Pas une once de cynisme.
L’audition était celle d’une actrice venue pour le rôle d’une des demi-sœurs diaboliques. C’était en 2012 et Lily James profitait d’un début de célébrité après avoir passé une saison dans la peau deLady Rose dans Downton Abbey – rôle pour lequel elle avait du teindre ses cheveux bruns en blond. Quand elle est venue à l’audition, le directeur de casting lui a dit qu’elle aurait aussi bien pu postuler pour Cendrillon. « Honnêtement, je ne pense pas qu’on me l’aurait demandé si j’étais brune » répond Lily James.
Kenneth Branagh recherchait une jeune femme qui puisse être bienveillante, sans être ironique, et qui ait « une habileté naturelle à être heureuse sans que cela dépende d’un homme ou de choses. » Il l’a trouvé en Lily James, et le film (en grande partie grâce à son bon sens raffiné) est devenu un ovni d’Hollywood : un blockbuster pour adultes issu d’un conte.
Au bout d’un moment pendant ma matinée à discuter avec Lily James au dessus d’un plat de saumon fumé et d’œufs brouillés dans un café d’une chaîne au beau milieu d’Highgate au nord de Londres, l’actrice de 25 ans me dit qu’elle se reconnait dans le chagrin et le regret. « Ça peut être épuisant, mais j’apprécie les émotions plus profondes, » dit-elle assez sérieusement. La seconde suivante elle éclate de rire en constatant qu’elle portait son pull à l’envers. Elle tire sur l’étiquette et note sèchement qu’au moins, c’est un Saint Laurent. Cela me rappelle une remarque que Kenneth Branagh a fait à propos d’elle, ce qui lui a plu en premier c’est sa capacité à rire si fort qu’elle en grogne. Et cette énergie naturelle et rebondissante est, pour l’instant, son talent caractéristique. Le chagrin et le regret devront attendre.
Lily James admet, à contre-cœur, que des personnages qu’elle a joué, Rose de Downton Abbey est probablement celui qui est le plus proche d’elle : qui aime s’amuser, chaleureuse et un peu malicieuse. Elle n’est pas précieuse et semble oublieuse de ce dont elle à l’air. Après avoir été recrutée récemment pour War and Peace sur BBC, elle met le feu au classique de Tolstoy, mettant en lumière le passage qui décrit Natasha pour la première fois « ‘Ceci n’est pas une femme magnifique mais pleine d’entrain – des yeux vifs…’ Je l’ai écrit et envoyé à mon agent en ajoutant ‘J’ai hâte de la jouer.’ »
Lily fait la couverture du magazine ‘Town & Country’ pour l’édition du mois de mars ! Retrouvez les scans dans la galerie, ainsi que les sublimes premiers outtakes :
Découvrez aussi de tout nouveaux portraits de Lily pris lors de la promotion de ‘Pride and Prejudice and Zombies’ à Los Angeles :