Juste avant le confinement, Lily a réalisé une session de photos avec son ami et photographe Andrea Katzeff dans son appartement de Londres. Retrouvez les premières photos de ce joli shooting dans la galerie :






Juste avant le confinement, Lily a réalisé une session de photos avec son ami et photographe Andrea Katzeff dans son appartement de Londres. Retrouvez les premières photos de ce joli shooting dans la galerie :
En cette période de confinement dans le monde entier, Lily James n’a pas l’intention de se laisser aller ! Active sur les réseaux sociaux, elle propose, en partenariat avec son coach personnel Patrick depuis la semaine dernière un cours de sport gratuit en direct, tous les jours en Live Instagram à 18h heure Anglaise (19h heure Française). Une bonne occasion de prendre soin de notre corps et de rester optimiste !
Un hashtag a été mis en place #mojoarmy, dans le but de créer une communauté et se soutenir de manière optimiste au travers de l’exercice du corps durant ces temps de trouble, de peur et d’inertie.
Les exercices mis en place conviennent à tout type de morphologie. Ils conviennent tout autant aux hommes et aux femmes. Les séances se composent d’un exercice d’échauffement, puis d’une répétitions d’une séries avec quelques minutes de pauses, et pour les plus téméraires, un exercice final pour mettre à l’épreuve votre endurance. Et n’oubliez pas de vous hydrater ! Le but étant d’oxygéner vos muscles pour permettre à votre corps de s’exercer, et d’activer les endorphines pour vous permettre de rester optimistes et en bonne santé.
Pour rappel, Patrick est un coach sportif agréé, et prépare ses séances pour le plus grand nombre.
N’hésitez pas à nous rejoindre en Live Instagram sur le compte du coach @Patrickmojopt tous les jours à 19h heure Française (6pm in England) et de partager sur vos stories vos photos après les entraînements ! Lily et Patrick vous attendent nombreux !
Elle a joué l’héroïne de contes de fées avec aplomb, mais Lily James en a assez d’être stéréotypée. L’actrice Britannique se confie aujourd’hui sur sa famille, sur son futur, et sur sa recherche de rôles nouveaux.
« Je pense que j’ai bien plus à offrir qu’à être enfermée dans la case de la ‘fille romantique’. Ma personnalité possède d’autres aspects : je peux me mettre en colère facilement quand les choses m’ennuient … » Lily James parle de stéréotypes. L’actrice – dont la carrière, admet-elle, lui a laissé parfois le sentiment d’être ‘persécutée par les corsets’ – est prête à exprimer « plus d’aspects différents de moi-même, à travers toute sorte de personnages. » Elle a sans doute trouvé cette réponse dans ‘Rebecca’, l’adaptation très attendue du chef d’oeuvre gothique de Daphne du Maurier de 1938, qui sortira prochainement cette année. James y incarne Mrs de Winter, aux côtés d’Armie Hammer qui interprète son mari aristocrate Maxim, dans une production Netflix ; l’intrigue suit un couple débutant sa vie conjugale dans le sombre domaine de Manderley, chaperonnés par la femme de ménage Mrs Danvers, brillamment interprétée par Kristin Scott Thomas. Avec un scénario signé Jane Goldman et Ben Wheatley à la réalisation, le film est prêt à captiver le public, et ce tout autant que la version précédente d’Alfred Hitchcock, récompensée aux Oscars, avec Laurence Olivier et Joan Fontaine. « Je suis passionnée par cette histoire » dit James. « En ce moment, je ne fais qu’y penser, en rêver et en parler. Hitchcock l’a déjà adapté, et nous le faisons à nouveau avec une vision différente. »
« Même si j’étais déterminée à rester la plus fidèle possible au livre » continue-t-elle « nous avons dû dans le même temps le laisser prendre son envol et voir ce qu’il pouvait devenir, en découpant chaque partie. J’ai lu le livre sept ou huit fois, j’ai l’impression que ce personnage compte vraiment pour moi. » Mariée à un homme qui s’avère être aussi froid qu’il est riche, et hantée par la présence constante de la première épouse décédée (l’éponyme Rebecca), la jeune Mrs de Winter est seule, apeurée et malheureuse. Une situation que James n’a pas prise à la légère. « J’ai eu du mal à me détacher du personnage » explique-t-elle. « Elle est tellement intimidée, juste éclairée au gaz, elle vit dans un espace difficile. J’ai continué à avoir des attaques de panique après le tournage ; je n’arrivais pas à m’en débarrasser. » Un tel dévouement est typique chez James. Apparue d’abord dans ‘Secret Diary of a Call Girl’, drame télévisuel racontant l’histoire vraie de Belle de Jour, c’est en jouant la fougueuse Lady Rose dans ‘Downton Abbey’ 1 an plus tard qu’elle a été catapultée sous la lumière des projecteurs (« cette série m’a permis d’avoir plus de visibilité – et c’est ce que vous souhaitez le plus en tant qu’acteur ; de pouvoir être vu »), tournant une vingtaine de films en moins d’une décennie – tout cela avant même d’atteindre l’âge de 30 ans, l’année dernière. Cependant, à l’instar de beaucoup d’actrices qui se sont fait connaître par des drames d’époques, la sensibilité à la rose anglaise de James rendait la menace d’être catégorisée presque inévitable. Un remake à gros budget du classique Disney de ‘Cendrillon’, ajouté à ‘Pride and Prejudice and Zombies’, une série télévisée de ‘Guerre et Paix’ et une romance située pendant la Seconde Guerre Mondiale, ‘The Exception’, ont suivi peu après ; ‘stressant’ James à la pensée qu’on ne veuille lui proposer qu’un certain type de rôles.
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Ce mois-ci, Lily fait également la couverture du célèbre magazine Grazia Italia, pour l’édition de la semaine du 24 février. Elle nous dévoile un nouveau photoshoot exclusif, photographiée par la célèbre photographe Ellen Von Unwerth. Retrouvez les premiers scans (MQ) dans la galerie :
Découvrez également quelques extraits traduits du magazine (la traduction Italien/Anglais a été réalisée par Best of Lily James) :
Sa carrière future : « Je veux repousser mes limites, m’éloigner des personnages que j’ai joué jusqu’à maintenant. Je recherche quelque chose qui m’excite, qui me fait peur, mais ce n’est pas simple : il est rare de trouver des scénarios stimulants, mais il est plus rare encore de trouver des personnes qui acceptent de vous faire confiance. »
Jouer les mannequins : « C’est une grande responsabilité, parce, en réalité, une actrice souhaite être libre, et ce même de ses propres erreurs. Personne n’a envie d’être toujours la ‘petite fille sage’. »
Bvlgari : « Quand j’ai appris que j’étais choisie en tant qu’ambassadrice de Bvlgari, je pouvais à peine le croire. Je suis toujours fascinée par tout ce qui brille. J’aime avoir beaucoup de bagues, d’avoir la possibilité de porter des boucles d’oreilles différentes, et je suis une amoureuse des pierres et de l’or. La chose la plus précieuse que je peux posséder, c’est un bijou. »
Les réseaux sociaux : « Je ne veux pas projeter une image de moi qui ne corresponde pas à la réalité. Par exemple, pendant le tournage de mon nouveau film, ‘Rebecca’, j’ai abandonné Instagram pendant trois mois : je souhaitais me déconnecter, et je pense que cette période m’a fait beaucoup de bien. » « Avec les réseaux sociaux, tout ce que vous dites se répercute sur des millions et des millions de personnes, et tout devient plus difficile. C’est de là que me vient cet instinct qui me pousse à toujours un peu me méfier du monde extérieur. »
Face à Sophie Bew, Lily James se confie sur le tournage du remake de ‘Rebecca’ de Ben Wheatley, sur les rôles qu’elle rêverait incarner, et sur l’achat des droits d’un livre qu’elle vient tout juste de terminer – qu’elle prévoit de produire et d’y jouer un rôle.
Lily James est bien plus qu’une simple rose Anglaise. L’actrice, principalement connue pour ses premiers rôles dans des drames historiques, surfe sur les générations : à l’aise dans son allure d’adolescente pin-up, elle assure autant le rôle d’une aristocrate coiffée de chapeaux, de la petite amie d’un gangster, ou dans la peau de Cendrillon. Son prochain tournant est le rôle de la seconde Mrs de Winter dans le remake du conte gothique ‘Rebecca’ de Daphne du Maurier réalisé par Ben Wheatley, qui lui fera atteindre encore plus de reconnaissance – s’ajoutant avec ses collaborations avec des réalisateurs comme Danny Boyle et Edgar Wright. Faisant des choix d’actrices audacieux et rafraîchissants, couvrant toutes les époques et les genres, James est un talent qui intrigue le public, qui souhaite en voir encore plus.
Il est attachant de voir à quel point l’actrice Lily James porte le poids de ses insécurités – mais avec un soupçon d’acceptation de ce qu’elle est. « Quand je suis un peu nerveuse et que je ne sais plus quoi dire, j’essaye d’être joyeuse » dit-elle. Nous conduisons dans les rues de Londres, partant de Walthamstow jusqu’à son rendez-vous à Soho ; elle s’exprime avec animation, agitant ses mains et riant lorsque nous sommes bousculées sur nos sièges arrière. « J’ai l’air d’une adolescente de 15 ans qui se rend à des soirées à minuit. C’est comme une couverture de sécurité – je deviens cette sorte de caricature. Parfois, je me dis ‘Lily, pour l’amour de Dieu, qu’est-ce qui ne va pas chez toi ?’ »
Cela me rappelle une scène de ‘Rebecca’ de Daphne du Maurier, ce psycho-thriller romantique célèbrement adapté au cinéma en 1940 par Alfred Hitchcock. James sera à l’affiche de la nouvelle adaptation du roman par Ben Wheatley qui sortira sur les écrans prochainement cette année, et il y a une certaine ressemblance sur ce sujet-là entre l’actrice et son personnage, la seconde Mrs de Winter. Dans le livre, le narrateur interne fait ses adieux à Maxim de Winter, son futur mari, qu’elle craint de ne plus jamais revoir après qu’ils soient tombés amoureux à Monte-Carlo.
Tout comme de Winter, James a bravé l’internat, et sa filmographie est capricieuse – se dévoilant dans un étincelant Cendrillon de Disney et incarnant une Elizabeth Bennet avide de combats de kung fu – démontrent quelqu’un de capable d’encore plus grand. Et dans le même temps, ‘Rebecca’ est, à première vue, un choix de film qui fait parfaitement sens pour James : des costumes des années 1930 et un manoir sur la Cornish Coast ; un design exquis ; et une intrigue avec un nouveau mariage au cœur d’un décors d’aristocrate hanté par la mort de l’épouse précédente. Cela ne semble pas si distant de ‘Just William’ et de ‘Downton Abbey’, ses premières apparitions à l’écran qui ont propulsé James sous les projecteurs. Mais entre les mains de Wheatley, on s’attend à un récit surréaliste et psychédélique du conte gothique hystérique et évocateur de du Maurier.
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Lily fait la couverture du magazine AnOther, pour leur édition spéciale printemps/été 2020. Retrouvez sans tarder dans la galerie du site le scan de la couverture, les premiers outtakes HQ de ce photoshoot inédit, ainsi qu’une preview de la traduction de l’interview, qui arrivera en entier sur le site dans la semaine. Enjoy !
Aux côtés de Sophie Bew, Lily James se confie sur le tournage du remake de ‘Rebecca’ de Ben Wheatley, sur les rôles qu’elle rêverait incarner, et sur l’achat des droits d’un livre qu’elle vient tout juste de terminer – qu’elle prévoit de produire et d’y jouer un rôle.
Lily James est bien plus qu’une simple rose Anglaise. L’actrice, principalement connue pour ses premiers rôles dans des drames historiques, surfe sur les générations : à l’aise dans son allure d’adolescente pin-up, elle assure autant le rôle d’une aristocrate coiffée de chapeaux, de la petite amie d’un gangster, ou dans la peau de Cendrillon. Son prochain tournant est le rôle de la seconde Mrs de Winter dans le remake du conte gothique ‘Rebecca’ de Daphne du Maurier réalisé par Ben Wheatley, qui lui fera atteindre encore plus de reconnaissance – s’ajoutant avec ses collaborations avec des réalisateurs comme Danny Boyle et Edgar Wright. Faisant des choix d’actrices audacieux et rafraîchissants, couvrant toutes les époques et les genres, James est un talent qui intrigue le public, qui souhaite en voir encore plus.
Suite de l’interview à venir dans la semaine.
Le 16 janvier, Lily a effectué sa première sortie officielle de l’année en se rendant à l’After Party de la ré-ouverture de la célèbre pièce ‘Les Misérables’ à Londres. Retrouvez sans tarder les quelques photos de l’événement, ainsi que sa sortie de l’after, dans la galerie :
Le 8 décembre, Lily a assisté à une masterclass spéciale en l’honneur du International Film Festival & Awards Macao. Malheureusement aucune vidéo n’est disponible, mais retrouvez les quelques photos de la conférence dans la galerie :
Lors des British Independent Film Awards, Lily a participé à une session de portraits, que vous pouvez retrouver dès à présent en haute qualité dans la galerie :
Le 2 décembre, Lily a assisté aux British Fashion Awards au Royal Albert Hall de Londres. Elle était accompagnée de sa styliste (et proche amie) Rebecca Corbin-Murray. Pour l’occasion, Lily portait une robe signée Valentino. Retrouvez toutes les photos de l’événement dans la galerie du site :
Le 1er décembre, c’est une Lily qui revient de vacances que l’on retrouve sur les tapis rouges Londonniens ! La belle a assisté à la cérémonie des British Independent Film Awards, afin de remettre un prix à sa co-star dans ‘Darkest Hour’ Kristin Scott Thomas. Elle était habillée d’une sublime robe noire signée Alessandra Rich.
Retrouvez plus de 160 photos de l’événement dans la galerie :
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