D’un début majestueux dans l’industrie jusqu’à être dans les chaussures d’une des actrices les plus talentueuses du monde, l’ascension de Lily James dans la gloire d’Hollywood a été le produit d’un travail acharné, de co-stars aidantes et de talents familiaux.
Avec ses boucles châtain et sa sensibilité Anglaise, il n’y a aucun doute que Lily James a fait connaitre son nom à une période où les drames historiques et les costumes avec corsets étaient en vogue. Et quand la fièvre Downton Abbey s’est calmée, l’actrice née à Esher a recueilli plus de reconnaissance pour son rôle principal dans la version live-action de Cendrillon, et son second rôle aux côtés de l’acteur Oscarisé Gary Oldman dans ‘Darkest Hour’, le biopic historique de l’année dernière sur Winston Churchill.
Ce n’est pas pour dire, cependant, que James est conventionnelle. Son autre sortie notable de 2017 était le film de pop criminel d’Edgar Wright ‘Baby Driver’ – un film quelque peu ébranlé par les accusations contre la star Kevin Spacey. Mais, pour ce qui en est de James, ‘Baby Driver’ représentait un changement vers une nouvelle panoplie de films : audacieux, moderne, Américain. C’est un sentiment que l’actrice de 29 ans aquiesce : « J’étais prête pour quelque chose de différent. »
Fidèle à ses mots, le dernier projet de James est possiblement aussi éloigné des grands halls de Downton Abbey ou de la rigidité que pouvaient être les salles de guerre de Churchill. Mais après avoir travaillé précédemment avec une panoplie de grands noms Hollywoodiens – de Cate Blanchett à Gary Oldman et Christopher Plummer – il semble logique que James va désormer se lier avec des castings aux grandes proportions.
Comme si jouer une version plus jeune du personnage Donna de Meryl Streep, aux côtés de Pierce Brosnan, Stellan Skarsgard, Julie Walters, Amanda Seyfried, Colin Firth et Cher n’était pas suffisant, chanter les chansons baignées de soleil d’ABBA dans la séquelle ‘Mamma Mia! Here We Go Again’ est certainement un changement dans une direction plus musicale et estivale. D’un observateur extérieur, cela apparait comme un simple choix de carrière, mais pour James avoir la chance de fredonner quelques sons classiques est bien plus personnelle.
« J’ai toujours adoré chanter; je ne suis pas très sure de la raison pour laquelle j’avais arrêté. » révèle la diplômée de la Guildhall School of Music. « ça a toujours été mon rêve de jouer une chanteuse à l’écran, quelqu’un comme Janis Joplin. Peut être est-ce parce que j’ai passé tellement de temps à me concentrer sur des rôles plus ‘sérieux’ que j’ai eu des doutes sur jouer dans des comédies musicales – mais ça a changé maintenant. »
La chance de pouvoir se rebrancher sur ses classiques pop aux côté de la meilleure actrice vivante est sûrement dû au destin. En effet, alors que James espérait réussir la tâche inimaginable d’imiter Streep dans l’espoir de ‘faire quelque chose de nouveau’ avec le personnage dans ses jeunes années, il y a une sensation palpable, pour James, d’être juste sur le même plateau en incarnant la pionnière légende de Tinseltown était suffisant pour s’enivrer de précieuses expériences. « Juste avant de rencontrer Meryl, je l’entendais chanter » se souvient James. « Je me suis ordonnée de faire bonne figure. Honnêtement, j’étais sur le point de pleurer ! »
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